Le souffle vient. Vous vous levez le matin et vous êtes en vie. Ce n’est pas comme si vous deviez insérer un tas de pièces dans une machine et dire : « Que je vive, j’ai l’argent qu’il faut ». Dès que vous êtes réveillé, vous vous mettez à penser à tout ce que vous devez faire dans la journée, les horaires à respecter, tout ce dont vous avez à vous souvenir, ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Ainsi, votre journée commence. Et d’une certaine façon la simplicité d’être en vie est perdue. Soyez simple. Existez, acceptez, comprenez le moment présent. Pour ce qui va se passer ou non, faites-y face au fur et à mesure. Appuyez-vous sur ce que vous êtes fondamentalement.